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La dose de rappel :
un enjeu majeur pour éviter
une nouvelle vague épidémique

À la veille de la période hivernale, on a constaté, en Nouvelle-Aquitaine, une légère augmentation du taux d'incidence chez les 65 ans et plus, à la différence des autres classes d'âges.

Peut-être, sont-ce les premiers signes d'une baisse de l'immunité conférée par les vaccins dans cette tranche d'âge.

Pour éviter que la situation ne se dégrade, il est urgent que les personnes ciblées par cette dose de rappel prennent rendez-vous dans un centre de vaccination ou auprès d'un professionnel de santé.

Faire la dose de rappel, dès que nécessaire, est essentiel pour assurer le maintien d'une protection maximale vis à vis du virus et éviter une augmentation des hospitalisations pouvant conduire à de nouvelles restrictions pour faire face à une nouvelle vague épidémique.

 

 

Qui est concerné par cette dose de rappel ?

6 mois après la dernière injection du schéma initial pour :

  • Les résidents des EHPAD et des USLD ;
  • Les personnes de plus de 65 ans vivant à domicile ;
  • Les personnes à très haut risque de forme grave ;
  • Les personnes atteintes de comorbidité(s) ;
  • Les personnes sévèrement immunodéprimées. À noter que pour cette dernière catégorie, l’administration de la dose de rappel peut être réalisée dans un délai inférieur à 6 mois (mais d’au moins 3 mois), dès lors qu’il est jugé par l’équipe médicale qu’elle permettrait d’améliorer la réponse immunitaire.

4 semaines après la dernière injection du schéma initial pour :

  • Les personnes ayant reçu le vaccin Janssen.